Informations immobilières SAINT LAURENT DE LA SALANQUE
Immobilier : La tensions locative française en forte augmentation en 2022
Immobilier : La tensions locative française flambe en 2022
Alors que le nombre de biens disponibles à la location a légèrement diminué, la demande a bondi en 2022, entraînant une forte montée en flèche de la tension locative dans de nombreuses régions. Cette situation s'explique, entre autres, par des restrictions accrues qui mettent la pression sur les propriétaires et les bailleurs.
Les tensions sur les loyers en France ont fortement augmenté en raison du durcissement des règles pour les bailleurs et de la difficulté croissante d'acquérir un bien, selon Le Figaro. Selon le portail immobilier Bien'ici, l'offre de biens locatifs chutera de 10% en 2022, tandis que la demande augmentera de près de 70%.
L’ouest de la France a été relativement épargné Certaines régions et villes sont plus touchées que d'autres. Selon Bien'ici, la pénurie de bien en location est particulièrement aiguë en Ile-de-France (72% tendu), Haute-France (78%), Occitanie (80%) et Provence-Alpes Côte d'Azur (106%) . Paris reste la ville la plus recherchée pour la location, devant Toulouse et Montpellier. Dans une perspective de croissance en année pleine, la situation s'est le plus détériorée à Nice, avec une tension des loyers de 10,8 %.
En revanche, l'ensemble de l'Ouest de la France n'est pas concerné par ce phénomène, avec 48 % en Nouvelle-Aquitaine et 28 % en Bretagne. Plus largement, le Bien'ici rapporte que les tensions locatives se sont intensifiées depuis 2019, avec des pics chaque été, notamment en 2022.
Comment expliquer cette situation ? Le Figaro met en lumière les contraintes croissantes auxquelles sont confrontés les propriétaires bailleurs. Avec l'application des mesures de la loi climat et résilience, il ne sera plus possible de louer des biens de catégorie G aux DPE (Diagnostic Performance Energétique) à partir du 1er janvier 2023.
L'interdiction sera étendue aux logements G en 2025, aux logements F en 2028 et aux logements E en 2034. L'obtention de plafonds de loyers est également devenue plus difficile dans les villes à loyers plafonnés, et en raison de l'inflation, les propriétaires ne peuvent pas augmenter les loyers en France métropolitaine de plus de 3,5 % jusqu'en octobre prochain. Plusieurs mesures pourraient inciter de nombreux propriétaires bailleurs à mettre en vente leurs biens locatifs.
Alors que le nombre de biens disponibles à la location a légèrement diminué, la demande a bondi en 2022, entraînant une forte montée en flèche de la tension locative dans de nombreuses régions. Cette situation s'explique, entre autres, par des restrictions accrues qui mettent la pression sur les propriétaires et les bailleurs.
Les tensions sur les loyers en France ont fortement augmenté en raison du durcissement des règles pour les bailleurs et de la difficulté croissante d'acquérir un bien, selon Le Figaro. Selon le portail immobilier Bien'ici, l'offre de biens locatifs chutera de 10% en 2022, tandis que la demande augmentera de près de 70%.
L’ouest de la France a été relativement épargné Certaines régions et villes sont plus touchées que d'autres. Selon Bien'ici, la pénurie de bien en location est particulièrement aiguë en Ile-de-France (72% tendu), Haute-France (78%), Occitanie (80%) et Provence-Alpes Côte d'Azur (106%) . Paris reste la ville la plus recherchée pour la location, devant Toulouse et Montpellier. Dans une perspective de croissance en année pleine, la situation s'est le plus détériorée à Nice, avec une tension des loyers de 10,8 %.
En revanche, l'ensemble de l'Ouest de la France n'est pas concerné par ce phénomène, avec 48 % en Nouvelle-Aquitaine et 28 % en Bretagne. Plus largement, le Bien'ici rapporte que les tensions locatives se sont intensifiées depuis 2019, avec des pics chaque été, notamment en 2022.
Comment expliquer cette situation ? Le Figaro met en lumière les contraintes croissantes auxquelles sont confrontés les propriétaires bailleurs. Avec l'application des mesures de la loi climat et résilience, il ne sera plus possible de louer des biens de catégorie G aux DPE (Diagnostic Performance Energétique) à partir du 1er janvier 2023.
L'interdiction sera étendue aux logements G en 2025, aux logements F en 2028 et aux logements E en 2034. L'obtention de plafonds de loyers est également devenue plus difficile dans les villes à loyers plafonnés, et en raison de l'inflation, les propriétaires ne peuvent pas augmenter les loyers en France métropolitaine de plus de 3,5 % jusqu'en octobre prochain. Plusieurs mesures pourraient inciter de nombreux propriétaires bailleurs à mettre en vente leurs biens locatifs.