Informations immobilières SAINT LAURENT DE LA SALANQUE
Pourquoi les prix de l'immobilier pourraient chuter dans les mois à venir ?
Alors que le marché immobilier s'affole à certains endroits, les prix devraient revenir à des niveaux plus raisonnables. C'est la Banque centrale européenne (BCE) qui a tiré la sonnette d'alarme sur un marché du logement qui devrait connaître une forte baisse des prix de l'immobilier dans les mois à venir. Selon les estimations de la BCE, les hausses de prix vont bientôt s'inverser, tirées par des coûts de crédit extrêmement bas et une demande croissante de logements.
Pour la BCE, la baisse imminente pourrait ramener le marché à une proportion plus logique, estimant que le marché immobilier résidentiel est actuellement surévalué de +15% en moyenne. En France, le marché du logement montre des signes de ralentissement, notamment pour les logements neufs, selon le site Surf Finances Mag.
En revanche, la hausse des taux d'intérêt est toujours justifiée. Selon les dernières données de la Banque de France, le taux moyen a atteint 1,17 % en avril de l'année dernière, contre 1,1 % en décembre 2021. Il n'en reste pas moins que la BCE a déclaré qu'il fallait "préparer la fin des financements gratuits (ou presque) prévus" et qu'elle envisage même de relever son taux directeur désormais négatif pour la première fois depuis une décennie, à partir de juillet et septembre. "Une hausse soudaine des taux d'intérêt sont susceptibles de déclencher une correction des prix de l'immobilier à court terme, les faibles taux d'intérêt actuels rendant plus probable un renversement marqué", a conclu la BCE. En France, cependant, les emprunteurs sont à l'abri d'ajustements brusques, comme aux États-Unis où les taux des crédits immobiliers sont désormais supérieurs à 5 %.
Pour la BCE, la baisse imminente pourrait ramener le marché à une proportion plus logique, estimant que le marché immobilier résidentiel est actuellement surévalué de +15% en moyenne. En France, le marché du logement montre des signes de ralentissement, notamment pour les logements neufs, selon le site Surf Finances Mag.
En revanche, la hausse des taux d'intérêt est toujours justifiée. Selon les dernières données de la Banque de France, le taux moyen a atteint 1,17 % en avril de l'année dernière, contre 1,1 % en décembre 2021. Il n'en reste pas moins que la BCE a déclaré qu'il fallait "préparer la fin des financements gratuits (ou presque) prévus" et qu'elle envisage même de relever son taux directeur désormais négatif pour la première fois depuis une décennie, à partir de juillet et septembre. "Une hausse soudaine des taux d'intérêt sont susceptibles de déclencher une correction des prix de l'immobilier à court terme, les faibles taux d'intérêt actuels rendant plus probable un renversement marqué", a conclu la BCE. En France, cependant, les emprunteurs sont à l'abri d'ajustements brusques, comme aux États-Unis où les taux des crédits immobiliers sont désormais supérieurs à 5 %.